Quel avenir pour raconter une histoire ?

Il y a plusieurs natures d'histoires, disent les puristes. Quelques années auparavant, t'avais les fictions et les informations, les romans et les journaux. Puis est venue l'image avec la photo "oui mais de presse" et puis celle "artistique" avec les floutés et consort.
Rapidement, la frontière c'est révélée être poreuse. Un flou peut transmettre un message qui convient à une nain format sion. Et inversement, des artistes peuvent pratiquer leur onanisme esthétique sur une photo de presse. Tout ça pour dire que divertissement et information, que l'on soit pour ou contre, font bon ménage (premier cour de première année d'école de journalisme précaire : un baveux doit informer, divertir, rendre service. A quand le journal pipe ?)
Il y a quelques heures encore, je pensais faire partie de la nouvelle génération qui, tu vas voir ce que tu vas voir, va révolutionner (rien de moins) la façon d'informer. Mon truc ? Le flash. Pas le super hero de M6, le logiciel. Je fanfaronnais sur le dépassé du simple papier/photo et sur le futur de audio/vidéo/texte/c'est toi qui choisit et réagit chérie
J'aurais du me douter que l'avenir ne se lit pas dans ce qu'il se fait déjà. Parce que oui, ça se fait déjà. Je te file des samples, histoire que tu vois ce que je veux dire : une enquête sur l'immobilier, sur des réfugiés, une sur l'obésité, une sur le révoltion dans un pays imprononsable.
Moi je te les conseille tous, surtout les réfugiés. Et bien c'est finit tout ça. Au mieux c'est le présent. Et le temps que j'arrive vraiment sur le marché du travail, tout le monde fera ça. LA révolution que t'attend dans l'information que ça fait trois paragraphe que tu trépignes à te faire tutoyer par un inconnue, ben la voilà : demain, l'information se fera par les jeux vidéos.
Une fondation ricaine a remis des prix aux projets d'information les plus inventifs. Trois sont axés sur l'inforation par interaction dans un univers. Ya elle, lui qui vient de Berkley et elle d'un institut qui cherche beacoup dans les hautes sphéres des gens qui réfléchissent (sans se faire enculer comme les chercheurs français, qui eux raie fléchissent plus qu'autre chose).

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